IN OVO 1 et 2
Le soutien à la ponte de seiches et de calmars

Les pêcheurs professionnels souhaitent aujourd’hui être davantage acteur d’une bonne gestion des ressources halieutiques qu’ils exploitent Après plusieurs rencontres avec la profession, il est apparu intéressant de travailler sur des structures techniques immergées temporairement permettant de soutenir le recrutement d’espèces exploitées, en particulier des mollusques qui fixent leurs œufs. C’est ainsi qu’est né le projet IN OVO qui vise à soutenir le développement durable d’une pêche côtière en maximisant les probabilités de succès des pontes.

Les seiches et calmars font partie des principales espèces débarquées en volume et en valeur par les adhérents de l’OP du Sud. L’abondance de ces ressources est néanmoins très fluctuante d’une année à l’autre. En accord avec les professionnels, le choix fut d’orienter le projet spécifiquement sur ces ressources.

Diverses structures temporaires ont ainsi été immergées en 2020 et 2021. Elles ont permis d’améliorer les connaissances sur la reproduction de ces espèces sur le Golfe du Lion et de définir un module optimal pour les ressources considérées. La mise en place de ces structures dans des Aires Marines Protégées pourrait à l’avenir soutenir fortement le succès des pontes de céphalopodes sur le Golfe du Lion et contribuer à une exploitation durable de ces pêcheries.

Voir le film IN OVO

Plaquette IN OVO

 

Projets portés par le Cepralmar en partenariat avec OP du Sud et le Parc Naturel Régional de Camargue, et réalisés avec le soutien de la Région Occitanie et du Fond Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP).

PEEXNAC
Etude et valorisation de la noisette de mer

La nasse changeante (Tritia mutabilis) ou noisette de mer est un petit gastéropode exploité à l’aide de paniers depuis 2011 sur les fonds sableux du Golfe du Lion. Ce métier se pratique principalement l’hiver bien que certains navires le pratiquent toute l’année. Débuté sur le secteur agathois, il s’est progressivement étendu vers le Grau du Roi et la Camargue à l’est, ainsi que vers quelques secteurs plus au sud (Gruissan, Port-la-Nouvelle).

Les débarquements ont rapidement augmenté pour représenter une centaine de tonnes pour l’Organisation de Producteurs du Sud. En raison de la « facilité » d’accès du métier sur un stock vierge, des professionnels ont sollicité le Cépralmar et l’OP du Sud afin de suivre l’évolution du stock et réfléchir à la mise en place de mesures de gestion permettant de garantir la durabilité de l’exploitation.

Un premier projet (2015-2018) suivi d’un voyage en Adriatique ont permis de travailler sur des méthodologies de tri et de valorisation de cette ressource. Pour mettre en place une gestion durable, il est apparu comme indispensable d’en apprendre davantage sur la biologie et l’écologie de la noisette de mer. D’où le projet PEEXNAC : Programme d’Etude pour l’Exploitation de la Nasse Changeante !

Parmi les principaux résultats, le projet a permis de démontrer que la noisette de mer est un gastéropode à sexe séparé dont la maturité sexuelle est atteinte à 17,5 mm pour les mâles et 24,4 mm pour les femelles. Une courbe de croissance a également pu être réalisée.

D’un point de vue alimentaire, il apparaît également que les petits individus ont un régime plus carnivore. Enfin, des travaux en bassins ont également permis de mieux appréhender la variabilité sur l’importance des œufs produits par femelle ainsi que le comportement de la noisette en fonction de la température.

Pour en savoir plus :
Plaquette
Rapport final

Un projet porté par le Cepralmar en partenariat avec OP du Sud, avec l’appui technique de P2A Développement et avec le soutien de la Région Occitanie, de France Filière Pêche et du Fond Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP) .

VARA
Quels potentiels pour le démarrage d’une filière macroalgues en Occitanie ?

La filière macroalgues connait un développement important à l’échelle mondiale du fait de la demande croissante des industries de l’agroalimentaire et de la cosmétique. A ce jour l’algoculture est majoritairement développée en Asie où les algues sont historiquement exploitées comme ressource alimentaire. En France, ce type d’activité est déjà implanté sur la côte Atlantique, en particulier du fait de l’exploitation des laminaires (espèces non présentes en lagunes méditerranéennes). Avec 40 000 ha de lagunes, pour la plupart eutrophisées, la Région Occitanie présente un potentiel exceptionnel non exploité à ce jour. Le ramassage de macroalgues peut représenter une opportunité de diversification intéressante pour les professionnels de la pêche et de la conchyliculture.

Afin d’initier un démarrage de cette filière en Occitanie, le Cépralmar a décidé d’étudier le potentiel de valorisation de macroalgues présentes sur la lagune de Salses-Leucate. Les algues envahissantes ont principalement été ciblées dans ce projet. Elles sont de nature à réduire la biodiversité des écosystèmes lorsqu’elles sont présentes sur des surfaces trop importantes, leur export du milieu permettrait d’en limiter les impacts sur le milieu.

Pour y répondre, deux axes de valorisation ont principalement été étudiés :

  • l’extraction de molécules à hautes valeurs ajoutées en cosmétologie et pharmacologie,
  • la valorisation brute dans différentes filières (par ex. : bâtiments, agronomie, textile, plasturgie).

Des essais terrains ont été menés pour estimer l’abondance de ces ressources à différentes saisons. Des ramassages et séchages ont également été menés afin de proposer des échantillons à d’éventuels industriels intéressés.

Projet porté par le Cépralmar avec le soutien du département de l’Aude, de la communauté d’agglomération Le Grand Narbonne, de la Région Occitanie et du Fond Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP)

 

 

RECYCLAGE DES ENGINS DE PECHE
Pour le développement d’une filière régionale de recyclage des engins de pêche

Les engins de pêche sont constitués très majoritairement de plastique. En fin de vie, aucun traitement spécifique n’est réalisé sur les ports pour recycler cette matière. Les engins de pêche usagés (EPU) sont simplement collectés sous forme de DIB (déchet industriel banal) avant d’être mis à l’enfouissement ou incinérés. Ils ne sont pas valorisés. Certains EPU, notamment les filets de pêche, posent également des difficultés techniques de traitement puisque les mailles viennent se coincer dans les outils de traitement des déchets.

En juin 2019, la directive relative à la réduction de l’incidence de certains produits en plastique sur l’environnement a été adoptée. Elle introduit la notion de Responsabilité Elargie du Producteur (REP) relative aux engins de pêche. Dans le cadre de la REP, les fabricants, distributeurs pour les produits de leurs propres marques et importateurs, qui mettent sur le marché des produits générant des déchets, doivent prendre en charge la gestion de ces derniers, notamment financièrement. Bien que basée sur la responsabilité individuelle du producteur, la REP peut être assurée par les metteurs sur le marché de manière individuelle ou collective, au travers d’un éco-organisme. Ce texte fut transposé en droit français suite à l’adoption de la loi n°2020-105, relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi AGEC. Elle prévoit la mise en place du REP au 1er janvier 2025 si aucune démarche volontaire n’est mise en place avant par les acteurs.

Afin d’initier cette démarche volontaire, il a semblé primordial de travailler à une échelle régionale afin de massifier les apports qui sont très dispersés en Méditerranée, le Parc Naturel Marin du Golfe du Lion le faisant sur son territoire et le Cépralmar sur le Gard, l’Hérault et l’Aude.

Le projet a tout d’abord permis de qualifier et quantifier le renouvellement des engins de pêche par les professionnels et ainsi d’évaluer les gisements à recycler. Le projet a ensuite proposé une organisation à l’échelle de l’Occitanie pour la collecte, le tri et la vente des filets maillants et trémails à un recycleur pré-identifié. Cette organisation est basée sur les principaux ports de pêche de l’Occitanie, à savoir le Grau-du-Roi, Sète, le Grau d’Agde et Port-la-Nouvelle.. Cette seconde partie a été menée avec l’appui de Click-Dive et Fil&Fab et rentrera dans une phase opérationnelle en 2022.

 

 

 

Pour en savoir plus : 
Etude des gisements
Proposition organisationnelle

Projet porté par le Cépralmar avec le soutien de la Région Occitanie et du Fond Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP)

PROSPECTCHAMED
Réflexion sur la réorientation et l’adaptation de la flottille chalutière

Le segment des chalutiers se trouve confronté à un plan de gestion pluriannuel adopté par le Parlement Européen le 4 avril 2019 pour les pêcheries démersales. Il prévoit une diminution significative de l’effort de pêche jusqu’en 2024 et des fermetures spatio-temporelles. Fin 2020, le Conseil des Ministres de l’Union Européenne a ainsi validé une réduction importante du quota d’effort dès 2021 (180 jours en moyenne par navire).

Dans ce contexte contraint, les professionnels demeurent fort logiquement inquiets sur l’avenir de leur métier. La profession a souhaité être proactive et s’engager dans une réflexion sur de potentielles réorientations ou adaptations de la flottille chalutière. L’approche proposée n’est pas de se centrer uniquement sur la ressource mais d’être globale, en intégrant l’ensemble de l’environnement d’une entreprise de pêche (encadrement, marché, technologie, environnement, social, économie). Il s’agit de quantifier les conséquences du plan de gestion et d’évaluer des alternatives pour construire un modèle économique équilibré et pérenne. L’analyse est faite aussi bien au niveau individuel (le navire) que pour la filière régionale dans son ensemble.

Le projet se décline en 3 phases :

  • une caractérisation socio-économique et spatio-temporelle des activités de pêches ;
  • une analyse des impacts des mesures de gestion du plan de gestion WEST-MED selon différents scénarios de réduction de l’effort de pêche en nombre de jours de mer ;
  • Une évaluation des trajectoires possibles de cette flottille à l’horizon 2024 au regard des conséquences du plan de gestion sur l’ensemble de la filière pêche locale.

L’enjeu du projet est fondamental pour l’avenir de la filière pêche d’Occitanie dans son ensemble. Outre les chalutiers, ce plan de gestion va fragiliser les halles à marée via la diminution des apports et en cascade l’ensemble des acteurs.

Projet porté par le CRPMEM en partenariat avec le Cepralmar, la SATHOAN et l’OP du Sud, avec l’appui de Mer Capacités et le soutien financier de la Région Occitanie et France Filière Pêche.

RECYPECH
Mobiliser et accompagner les professionnels de la pêche pour le recyclage des engins de pêche Usagé.

Le projet RECYPECH est un projet porté par la Coopération Maritime. Il comporte plusieurs volets, dont l’un qui vise à mettre en place des opérations pilotes pour favoriser la pré‐collecte et le tri d’EPU. Le Cépralmar a accepté d’accompagner la Coopération Maritime pour que Port‐la‐Nouvelle soit un des ports pilote en accord avec SAS 3 PLN pour tester la faisabilité de mise en place d’un système opérationnel pour le recyclage des chaluts usagés.

Sur Port‐la‐Nouvelle, les alèzes des chaluts sont essentiellement composées de polyamide‐6 contrairement à ce qui est observé sur la façade Atlantique‐Manche‐Mer du Nord. Avec la participation volontaire de l’ensemble des chalutiers du port, un système de collecte et de mise en big bags a pu être testé. Les déchets récupérés ont ensuite été envoyés chez l’entreprise Fil&Fab qui traite déjà des filets fins constitués de cette même matière. Si le système de broyage nécessite une mise au point en raison de l’épaisseur du fil et des nœuds, la composition de la matière laisse espérer la possible mutualisation du recyclage avec les filets fins.

Le gisement d’alèzes de chalut est estimé a 1,5t/an pour les chalutiers de Port‐la‐Nouvelle.

Pour télécharger le rapport du projet recycpech : https://www.cooperationmaritime.com/projets/recypech

FILMS 360
Du virtuel à la réalité des métiers 

La filière pêche dans son ensemble est un élément structurant du littoral d’Occitanie. L’aquaculture continentale (pisciculture, spiruline…) est également un élément régional majeur de l’intérieur du territoire. Ces différentes filières, associées à la valorisation des produits, offrent des débouchés en termes d’emploi mais souffre d’un déficit d’image, de connaissance du public.

L’objectif de ce projet, en collaboration avec les services de la Région Occitanie, est de produire 4 films 360 :

  • l’un sur la pêche en lagune,
  • le second sur le mareyage et la transformation des produits de la mer,
  • le troisième sur l’aquaculture marine,
  • le dernier sur l’aquaculture continentale (spiruline, aquaponie, pisciculture…).

Spécifiques pour les casques de réalité virtuelle, ces vidéos sont conçues dans un objectif d’immersion dans une ambiance, un environnement. Ces films doivent permettre de mieux faire connaître la réalité de ces métiers.

Ces outils seront utilisés :

  • dans les événements d’image des métiers de la mer, tels que des « zooms métiers de la mer », les salons régionaux de l’orientation, l’emploi et la formation (salons TAF),
  • ainsi que dans les actions déployées par les 17 Maisons de Région et les 3 Maison de l’Orientation auprès de leurs publics – scolaires, demandeurs d’emplois, personnes en reconversion-, des Ecoles de la 2nde Chance (E2C), auprès des établissements scolaires d’Occitanie, dans des jobdatings entre les employeurs potentiels et les cibles.

Ces outils seront également à disposition des acteurs de ces différentes filières dans le travail qu’ils mènent pour promouvoir les métiers de la mer et l’économie bleue.

Aquaculture continentale
La pêche en lagune
La pisciculture marine

Un projet porté par le Cepralmar en partenariat avec la Région Occitanie et avec le soutien de l’Etat dans le cadre du plan de relance.

PALTEVA

Depuis plusieurs années, les pêcheurs de la lagune de Thau alertent sur la diminution de la population de palourdes européennes, Ruditapes decussatus. Si des suivis de mortalité, des suivis d’abondance, des enquêtes sur la pêcherie ou des essais de grossissement sur la palourde ont été réalisés par le passé, aucune étude d’envergure n’avait eu jusqu’à présent pour objectif d’évaluer l’état de la population de palourdes européennes de la lagune de Thau depuis les années 90 (Mazouni et al., 1999). L’objectif du projet PALTEVA était de réaliser un état de la population afin de disposer un nouvel état 0 avant de mener des travaux de recherche sur les causes du déclins et l’identification de pistes de restauration de cette ressource exploitée par la petite pêche lagunaire.

Un plan d’échantillonnage spécifique a été conçu pour apprécier la situation démographique et estimer le stock commercialisable de palourdes de la lagune de Thau. Un total de 326 points (un quadrat réalisé à chaque point) a été tiré aléatoirement dans la lagune de Thau à l’aide d’un algorithme produisant des échantillonnages spatialement équilibrés (GRTS). Pour des raisons pratiques, les zones de petits fonds, inférieurs à 1,50 m ont été différenciées des zones de fond plus importants, supérieurs à 1,50 m. Les premiers ont été échantillonnés en plongée avec une mini-drague aspiratrice à eau, tandis que les seconds ont été échantillonnés à la benne Hamon. Les prélèvements ont été effectués entre le 12 avril et le 5 mai 2023. Chaque quadrat prélevé a été tamisé et trié. Les palourdes ont ensuite été mesurées en longueur, largeur et hauteur puis pesées individuellement. Certaines palourdes ont été analysées en génétique pour déterminer l’espèce. En plus de cet échantillonnage aléatoire, 3 quadrats supplémentaires ont été prélevés de manière non-aléatoire dans des zones où des siphons de palourdes européennes pouvaient être observés.

Cet échantillonnage permet de montrer que le stock de palourdes européennes commerciales est très faible dans la lagune de Thau. Il confirme un possible effondrement de cette ressource rapporté par les pêcheurs professionnels. De nombreuses causes peuvent être à l’origine de cet effondrement comme l’oligotrophisation, des mortalités liées à des pathogènes, des anoxies ou des modifications du sédiment. Des études spécifiques seront nécessaires pour identifier plus précisément les facteurs en jeu. Et pour le futur, des techniques de restauration environnementale seront à étudier pour reconstituer la population de cette espèce emblématique : la palourde européenne Ruditapes Decussatus.

 

Le projet PALTEVA a bénéficié du soutien financier de :

FILIPECH
Soutenir et accompagner le secteur de la pêche artisanale dans l’évolution des pratiques relatives à la gestion des engins de pêche usagés (EPU).

Dans le cadre de la mise en application de la loi AGEC au 1er janvier 2025, acteurs locaux et professionnels de pêche s’engagent dans l’amélioration de la gestion des EPU. De nombreuses actions sont à mener pour aller dans ce sens : organisation des ports pour la collecte sélective, organisation des metteurs en marché dans la mise en place d’une filière, organisation des solutions techniques et des débouchés, etc…

Parmi les EPU, les chaluts sont parmi les plus importants en volume. Constitué majoritairement de polyamide et/ou polyéthylène (qui se recyclent), mettre en place une organisation pour les collecter et identifier des débouchés pour les valoriser est un enjeu important pour la filière pêche. Tout comme pour RECYPECH sur Port-la-Nouvelle en 2021, le Cépralmar s’est associé à la Coopération Maritime pour mener une opération pilote sur le port de Sète-Frontignan visant à organiser la collecte, le tri et le recyclage de chaluts usagés. Ce travail est mené avec l’EPR Sud de France et l’appui de filetiers et d’armements.

Projet porté par la Coopération Maritime avec localement l’appui du Cepralmar et de l’EPR Port Sud de France. Pour en savoir plus : https://www.cooperationmaritime.com/projets/filipechperationmaritime.com/projets/filipech

Elaboration du contrat de filière pêche et pisciculture marine Occitanie 2024-2026

Depuis fin 2021, le CRPMEM Occitanie a engagé un vaste chantier pour coconstruire une stratégie avec l’ensemble des acteurs de la filière régionale, l’Etat, la Région et les collectivités du littoral. Publiée en mars 2023, la stratégie a mobilisé pendant près d’un an un peu plus de 65 structures (organisations professionnelles, coopératives, collectivités, ONG, acheteurs de produits de la pêche, etc.). En août 2023, le CRPMEM, maître d’ouvrage, confie au Cépralmar la maîtrise d’œuvre pour transformer l’essai : faire de cette stratégie un véritable contrat de filière, et passer d’une réflexion prospective partagée à un engagement collectif autour d’actions très concrètes.

En 2024, 41 signataires et une vingtaine de partenaires sont désormais réunis autour de 130 actions réparties en 8 axes stratégiques. Parmi ces actions, certaines sont classées comme prioritaires et structurantes. Le contrat régional fait aussi état de 10 priorités thématiques plus transversales. Ce premier contrat de filière pêche en France est un document-cadre qui permet de programmer pour 3 ans (2024-2025-2026) une réponse commune aux principaux enjeux pré-identifiés lors de l’élaboration de la stratégie. Le contrat est constitué d’un document principal, accompagné de deux annexes qui apportent respectivement des précisions sur les signataires et sur les actions. Depuis le 27 septembre 2024, sa mise en œuvre est officiellement lancée : en route pour 3 années de travail coordonné, à l’échelle de toute une filière !